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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/235

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— Quand, ce matin, monsieur me fit l’honneur de me communiquer une lettre de madame Beauvisage, s’empressa-t-il de répondre en désignant Maxime, je venais d’en recevoir une de mon fils où, à peu de chose près, il me renseignait de la même façon. Comme monsieur, je suis d’avis que l’affaire peut devenir grave pour notre adversaire, mais à la condition pourtant qu’elle sera bien menée.

— Je ne sais encore que très incomplètement ce dont il s’agit, fit observer le ministre. Comme je tenais, mon cher Vinet, à avoir votre avis dans la question, afin d’éviter un double emploi, j’ai