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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/54

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à la fin du monde, n’avait pas jugé utile d’ensemencer son champ.

— Oh ! pour nous, dit modestement Rastignac, notre retraite n’était pas la fin du monde. Nous croyons qu’après nous, il y a des gens, et beaucoup, qui sont très capables de gouverner ; seulement, comme dans cette ville de transit qu’on appelle le pouvoir, nous pensions ne donner qu’un très petit nombre de représentations, nous n’avions déballé ni nos décorations, ni nos costumes. D’ailleurs la session, de toute façon, ne devait pas être une session d’affaires ; la question se trouve maintenant posée entre ce qu’on appelle le château, l’influence