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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/121

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ment suivi de débours aussi importants.

— Cela se comprend, repartit le député, mais des revenus m’ont été créés par cette libéralité.

— Vous avez, reprit Bricheteau, à peu près quatre mille livres de rentes de la terre d’Arcis ; cinq mille de l’immeuble que vous avez acheté rue Saint-Martin, total : neuf mille livres de revenu que vous vous êtes fait au moyen d’un capital de quatre cents et quelques mille francs. La Sainte-Ursule en a bien coûté une quinzaine de mille ; deux actions du National, cinq mille ; enfin, cinquante