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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/137

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quelques semaines de traitement, que le patient ne dût être remis à ses amis dans un parfait état de guérison, quand la complication la plus déplorable vint amener un dénouement non moins triste qu’inattendu.

» M. Marie-Gaston avait, du côté de son frère, mort il y a quelques années dans nos possessions de l’Inde, une belle-sœur et deux neveux, dont il était le soutien, mais qu’il ne voulait point voir, à cause de certains souvenirs douloureux se rattachant à la mort de sa femme.

» Instruite de la maladie de son beau-frère, madame Gaston crut devoir se