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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/148

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va vous les monter, vous chercherez vous-même, et, si les ailes n’y sont pas, je vous ferai donner la douche parce que, savez-vous bien ? je n’aime pas qu’on se rie de moi.

» Avec les fous, la menace de la douche manque rarement son effet.

» — Montez donc ces bottes, » cria le malheureux Marie-Gaston, et tout le monde respira, car il paraissait croyable qu’il ouvrirait la porte et qu’on pourrait enfin se rendre maître de lui.

» Mais à ce moment, au milieu de l’immense silence qu’avaient produit