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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/159

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Monsieur le nécessaire, de quoi vous mêliez-vous ?

» Mon bon ami, ne vous fâchez pas, vous êtes parti devant ; mais, tout à l’heure, je vais vous suivre ; souffrez seulement que je mette ordre à quelques intérêts.

» Laissant après moi une certaine fortune et plusieurs héritiers éloignés, dont je ne me soucie guère, j’entends que la totalité de mes biens soit ainsi partagée :

» À la signora Luigia, première cantatrice du théâtre de la Reine, je donne