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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/215

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j’aurai quelque chose de nouveau, je m’empresserai de vous le mander. Croyez en attendant au respectueux attachement de votre fille bien affectionnée. »


Quelques jours plus tard, le mot suivant était adressé à Simon Giguet, par sa tante, madame Marion :


« Mon cher Simon, je n’ai rien à te dire de la séance où le fameux M. Sallenauve a obtenu de ne pas être chassé de la Chambre. Ces dames Mollot et Beauvisage y étaient, et elles n’ont pas trouvé qu’il ait très bien parlé ; moi, j’étais retenue à l’hôtel par une de ces migraines que tu sais ; mais M. de Trailles, qui est