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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/225

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» La belle madame Beauvisage ne s’est pas trouvée logée comme il convenait à une femme de son importance dans l’hôtel où nous sommes descendues, et tu sais sans doute qu’elle est allée dans le grand quartier, rue de la Paix. Elle aurait été enchantée d’être débarrassée de nous, vu quelque chose que je te conterai tout à l’heure ; mais pas si simple que de lui faire ce plaisir et nous sommes sans cesse à lui rendre nos devoirs et à l’accabler de nos visites, comme si nous ne pouvions nous passer d’elle, d’autant plus que son futur gendre l’entretient de loges de spectacles et de billets pour tous les monuments et en attendant qu’elle soit devenue tout à fait grande dame et qu’elle ose rompre avec