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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/229

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rion comme à la plus âgée et à la plus respectable, demande des nouvelles du colonel Giguet, s’informe comment tu te portes, mon gros poulet, trouve Ernestine grandie et embellie, et ce n’est qu’à la fin qu’il arrive à la santé de M. Beauvisage et de mademoiselle Cécile.

» Se voyant assez froidement accueilli de ce côté, il ne prolonge pas très longtemps sa visite, qu’il était d’ailleurs obligé de faire de dedans le corridor, et nous demande où il pourra aller nous présenter ses hommages ? Madame Marion et moi ne marchandons pas à lui donner notre adresse, rue Montmartre, hôtel de l’Aube.