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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/238

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Tu me diras que la farce est un peu forte et qu’elle peut amener bien du grabuge, mais est-ce qu’on lui demande ses secrets à cette pédante, et puisqu’elle monte des coups, pourquoi donc n’en monterais-je pas aussi ? D’ailleurs M. de Trailles n’en apprendra pas plus qu’il n’en sait déjà lui et tout Arcis, et puisqu’il est le gendre, ça se passe en famille : mais il verra au moins la valeur des coquetteries que lui fait cette bégueule et comme toutes ses attentions sont bien employées.

» Nous ne serons peut-être pas ici assez longtemps pour assister à la fin du mélodrame, car nous ne resterons pas maintenant plus de trois jours, et je t’é-