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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/254

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Ainsi, à tous les embarras du lion aux abois, aucune issue ne semblait possible, lorsqu’en entrant chez lui, son vieux valet de chambre Suzon lui remit respectueusement sur un plateau la lettre de la greffière.

En lisant la compromettante pièce qui lui parvenait, Maxime eut une illumination. Sans se bien rendre encore compte de l’usage auquel il tournerait cette arme tombée tout à coup dans sa main, il sentit que là était le salut ; son mariage fait, sa lettre de change acquittée, en un