Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/256

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Mais, en toute rencontre, le comte Maxime se piquait d’élégance ; s’il ne regardait pas grandement au fond, il avait souci de la forme ; bourreau de salon, il n’égorgeait qu’en gants blancs et en s’y prenant avec grâce.

Avant toute chose, une curiosité le préoccupa : il voulut savoir qui lui avait rendu ce signalé service, et comment la bienheureuse lettre lui était parvenue. On comprend en effet que, sur ses déterminations ultérieures, la découverte de te mystère pouvait avoir une certaine action.

En déguisant son écriture, la greffière