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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/279

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verine ; il n’avait donc point eu d’objection sérieuse contre l’homme qui semblait tenir dans sa main tous ces résultats.

La clause de séparation de biens, spontanément offerte par M. de Trailles, avait d’ailleurs paru pourvoir à sa fâcheuse renommée et à ses instincts dissipateurs ; et, grâce au crédit que toute l’attitude du prétendant permettait de lui supposer dans les hautes régions gouvernementales, on pouvait entrevoir pour lui une fortune politique arrivant à réparer les mauvais entraînements de son passé.

Mais du jour où l’étoile de Sallenauve