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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/285

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tit l’ancien notaire, mais d’un autre côté je ne vois pas trop l’utilité de remettre sur le tapis une affaire si l’on n’y apporte pas des arguments nouveaux.

— Ainsi fais-je, reprit Maxime. Jusqu’ici mon dévouement pour la famille Beauvisage a été auprès d’elle toute ma recommandation. Je ne me suis donc pas beaucoup étonné lors de la dernière visite que j’eus l’honneur de vous faire, en croyant m’apercevoir que la stérilité de ce dévouement lui avait fait perdre auprès de vous, monsieur, une partie de son mérite.

— Mais vraiment non, repartit Gré-