Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/287

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Je vous suis d’avance obligé, dit Grévin, et j’écoute.

— J’oserai vous demander quelle a été votre impression relativement à certains bruits qui auraient attribué, il y a quelques années, à madame Beauvisage une liaison de cœur ; liaison donnant à comprendre que, dans le mari qu’elle avait reçu de votre main, ne se rencontrait pas la somme entière des perfections qu’elle pouvait désirer ?

— Mais j’ai toujours aimé à me persuader que les malicieux propos d’une petite ville ne méritaient que peu ou point d’attention.