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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/296

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mon esprit ; j’ose donc espérer que c’est au compte de votre prudence que sera mise la nécessité dont vous arguerez.

— Parfaitement, monsieur, dit Grévin, vous serez présenté à ma fille comme un auxiliaire dont j’ai invoqué le concours, et non comme le détenteur d’un secret à haute pression.

— Je n’attendais pas moins de votre prudence et de votre loyauté, repartit Maxime ; maintenant, ajouta-t-il d’un ton léger, j’ai à vous entretenir d’un accessoire de médiocre importance ; mais qui veut la fin veut les moyens.

— De quoi s’agit-il encore ? demanda