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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/302

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maintenant, pour parer à mon embarras momentané, voilà le moyen dont je me suis avisé.

Grévin ne montra aucun empressement de connaître ce moyen.

— Mon mariage, reprit M. de Trailles, étant arrêté en principe, et la dot devant prochainement m’être comptée, je ne puis tarder d’être en mesure…

— Cela dépend. Marié, à votre demande, sous le régime de la séparation de biens, vous ne disposerez pas, sans l’aveu de votre femme, d’aucune portion de l’apport conjugal.

— Il faudrait que j’eusse, du caractère