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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/75

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votre estimable journal pour présenter au public, notre juge à tous, quelques explications qui me semblent indispensables et auxquelles on ne refusera pas, je pense, un mérite, celui d’être nettes et catégoriques dans leur brièveté.

» Je suis, monsieur, cet ami tiède et prudent que M. de Sallenauve a trouvé convenable de désigner dans son discours prononcé aujourd’hui à la Chambre des députés.

» Il est parfaitement vrai que M. de Sallenauve m’avait prié de vouloir bien cautionner auprès de M. le président de la Chambre la légitimité de l’absence