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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/79

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d’ailleurs, ce qui vous arrive, vous l’avez un peu voulu ; et, sans la malheureuse inspiration de ce voyage en Angleterre, qui en somme s’est trouvé inutile…

— M’auriez-vous conseillé de ne le point faire ?

— Je ne dis pas ; mais vous auriez pu vous confier à moi au lieu de remettre vos intérêts entre les mains de ces l’Estorade. Jamais malheur ne vient nous frapper qu’il n’y ait quelque chose à mettre au compte de notre imprudence ; ce n’est donc pas votre nouvelle existence qu’il faut seule rendre responsable de toutes ces malencontres.