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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/83

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l’Estorade s’était cru dans la nécessité d’expliquer son procédé.

— Eh bien ! monsieur ? fit vivement madame de l’Estorade.

— Au moment où votre visite m’a été annoncée, j’étais occupé de répondre.

— C’est justement, monsieur, dans la prévision de cette réponse, dit madame de Camps, que vous nous voyez ici. Nous sommes les premiers à le reconnaître ; la lettre de M. de l’Estorade, à la publication de laquelle nous nous sommes opposés de toutes nos forces, est gratuitement injurieuse ; mais quelques