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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/127

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profonde solitude, pour ne pas inquiéter la pudeur provinciale de Séverine, qui se serait peut-être révoltée à l’idée d’un cabinet particulier, c’est dans le grand salon que nous dînâmes ; ce salon, vous le savez sans doute, est situé au rez-de-chaussée avec une vue sur le boulevard.

— Très bien ! dit M. de Trailles, j’aime à apprendre que ma belle-mère garde au moins les convenances.

— Nous avions dîné de bonne heure pour avoir la soirée plus longue, et nous étions au dessert, quand, de derrière le rideau qui nous abritait, madame Beau-