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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/154

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Sans s’arrêter à cette fin de non-recevoir, qui pouvait être prise aussi pour de la modestie.

— Vous devez, monsieur, dit la marquise, avoir sur l’esprit de la signora Luigia une certaine influence, car, après tout, c’est à vous qu’elle doit l’éducation musicale qui l’a faite ce qu’elle est.

— Depuis que la Luigia a quitté ma maison, répondit Sallenauve, je l’ai vue un quart d’heure à Londres, et l’autre jour je lui ai adressé chez M. le ministre des travaux publics quelques paroles de félicitations très froidement accueillies.