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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/159

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nauve, M. le ministre des travaux publics aussi !

— Ah ! c’est-à-dire que c’est navrant ; il ne sort plus de chez elle, il en néglige toutes ses affaires. Les petits journaux commencent à s’égayer, et vous vous imaginez la douleur de sa pauvre petite femme qui, après un an de mariage, se voit délaissée avec ce scandale et cette publicité.

— Mais, de la part de la Luigia, croyez-vous à une complicité quelconque ?

— Jusqu’à présent il ne paraît pas