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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/202

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— Songez-y donc, mon cher ! Ronquerolles, un homme si plein de la hauteur de son nom, donner un pareil scandale !

— Mais vous, monsieur le comte de Rastignac, sans la comtesse Augusta, seriez-vous bien éloigné de le donner ?

— Moi, j’y regarderais à deux fois, et cependant je me suis fait franchement le ministre d’un roi-citoyen.

— Et encore plus franchement le gendre de Nucingen. Du reste, vous parlez de scandale, savez-vous que vous en faites un qui ne laisse pas de retentir aussi ?

— Ah ! mon cher, dit Rastignac avec