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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/297

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pas pu encore faire mûrir complètement pour moi, je n’en aurais peut-être pas eu le courage. Mais je pense qu’avec vous madame, et avec mademoiselle Cécile, il n’est pas vrai, comme le dit le proverbe, que les absents aient tort.

— Comment pourriez-vous croire, dit madame Beauvisage, qu’une chose aussi avancée puisse maintenant manquer ?

— De votre fait, ma chère belle-mère, je pars assez tranquille ; mais du fait de ma prétendue…