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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/304

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sot, parce que réellement c’est un sot, j’espère que vous ne relèverez plus si aigrement cette parole : il y a longtemps que je sais tout.

— Tout quoi ? demanda Séverine avec cet instinct de femme qui va à nier même l’évidence, quand on ne la lui fait pas grosse comme une montagne.

Maxime dut alors raconter la vilenie de madame Mollot, les soins qu’il avait été obligé de prendre pour en neutraliser les effets ; sa visite à Grévin, et enfin faire connaître à l’intéressée que, lorsqu’elle le croyait seulement au fait de