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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/309

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êtes seulement mariée en deux volumes ; est-ce votre faute, à vous, si l’on vous a forcée de vous dédoubler ?

— Vous avez bien de l’esprit, dit madame Beauvisage avec un sourire triste et en lui tendant la main ; mais, dites-moi encore, j’ai besoin de l’entendre encore, que vous n’avez pas pour moi de mépris !

— J’ai pour vous, chère belle-mère, toute l’affection et tout le respect que l’on doit à la mère de celle qu’on aime, et si mon mariage venait maintenant à