Aller au contenu

Page:Balzac Histoire des oeuvres 1879.djvu/37

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

que ce chapitre fut daté de Paris, janvier 1831, et ce n’est qu’en 1842, dans le tome III de la cinquième édition des Scènes de la Vie privée (première édition de la Comédie humaine) que ce morceau prit son titre actuel, toutes divisions supprimées.

Le deuxième chapitre, Souffrances inconnues, a paru pour la première fois, inédit, daté de Paris, 15 août 1834, dans le tome IV de la troisième édition des Scènes de la Vie privée, 1834-1835.

Le troisième chapitre, À trente ans, daté pour la première fois d’avril 1832 dans la troisième édition des Scènes de la Vie privée, 1834-1835, a paru pour la première fois dans la Revue de Paris d’avril 1832, sous le titre de la Femme de trente ans, titre qui servit depuis 1842 à tout l’ouvrage, et, pour la première fois en volume, dans le tome IV de la deuxième édition des Scènes de la Vie privée, mai 1832. C’est de ce fragment seul que Sainte-Beuve parle avec éloge dans le tome II des Causeries du lundi.

Le quatrième chapitre, le Doigt de Dieu, a été publié en deux parties distinctes ; la première, sous le seul titre de : le Doigt de Dieu, a paru pour la première fois dans la Revue de Paris du 25 mars 1831, et, pour la première fois en volume, dans le tome IV de la deuxième édition des Scènes de la Vie privée, mai 1832. Il a porté pour la première fois la date de mars 1831 et le sous-titre de la Bièvre, dans l’édition de 1834-1835. La deuxième partie, intitulée la Vallée du torrent, a paru pour la première fois, inédite, datée du 25 mai 1834, dans le tome IV de la troisième édition des Scènes de la Vie privée, 1834-1835. Ces sous-titres et ces divisions ont été supprimés en 1842 dans la cinquième édition des Scènes de la Vie privée (première édition de la Comédie humaine), et Balzac ajouta le paragraphe III de la page 629 pour souder les deux parties ensemble.

Le cinquième chapitre, les Deux Rencontres, parut pour la première fois dans la Revue de Paris, des 21 et 28 janvier 1831 ; il était divisé en deux parties dont voici les titres : la Fascination, le Capitaine parisien, et se terminait par ces mots : « S’il y eut entre ces deux êtres une troisième rencontre, ce ne fut ni sur la terre, ni sur les eaux… » paragraphe qui fut enlevé lorsque les Deux Rencontres parurent pour la première fois en volume dans le tome IV de la deuxième édition des Scènes de la Vie privée, mai 1832. L’auteur y ajouta en revanche une troisième partie inédite, qui porta le titre d’Enseignement, et, dans l’édition de 1834-1835, où il data pour la première fois les morceaux, il mit la date de janvier 1831 à la fin seulement des trois chapitres des Deux Rencontres, ce qui était absolument inexact