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Page:Barbey d’Aurevilly - Une histoire sans nom, 1882.djvu/105

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mon supplice, Seigneur Dieu terrible ! Et elle s’affaissa et s’abîma sur la terre, perdue, anéantie dans l’idée de son péché et de sa damnation éternelle, devant ce Christ rigide aux bras droits et plus raidis vers Dieu et sa justice qu’étendus avec amour sur la croix pour embrasser le monde sauvé. Image de ses bras, à elle, qui laissaient là sa fille à moitié morte, pour ne se tendre que vers le ciel !