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Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/40

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Il touche Olympia qui se tourne vers la droite.
COCHENILLE, poussant Olympia.
Va-a donc !… va !…
OLYMPIA.
Oui.

Elle sort par la droite, suivie de Cochenille.

LE CHŒUR.
Que voulez-vous qu’on dise ?
C’est une fille exquise !
Il ne lui manque rien !
Elle est très bien !…
NICKLAUSSE, d’une voix dolente.
Est-il mort ?…
SPALANZANI, examinant Hoffmann.
Est-il mort ?… Non ! en somme,
Son lorgnon seul est en débris !
reprend ses esprits !
LE CHŒUR.
Pauvre jeune homme !…
COCHENILLE, dans la coulisse.
Ah !

Il entre en scène la figure bouleversée.

SPALANZANI.
Ah ! Quoi ?
COCHENILLE.
Ah ! Quoi ? L’homme aux lunettes !… Là