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Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/153

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PETIT ADIEU


Cherche le bonheur qu’on oublie…


Princesse d’adieu qui se lève,
Drapée, innocente à l’hiver.
Oh ! donne-moi ta main de rêve
Par-dessus ce que j’ai souffert.

Novembre est pâle sur la grève :
Le vent d’horizon pleure tout.
Petit enfant du mauvais rêve
Qui t’en vas en baissant ton cou.