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Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/171

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LES LARMES


Tu pleures toutes tes larmes…


Oh ! le jour qui finit si bleu,
Oh ! l’ombre dont la chambre est pleine…
Je me penche et te vois à peine,
Je me penche et t’adore un peu !

Tranquille avec ta robe noire
Dans la vieille et riche maison,
Tu pleures, je sens le frisson
Qui te prend dans sa pauvre gloire !…