Aller au contenu

Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/67

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


GESTE


Quand la nuit tombe des cieux,
J’entre en la chambre infinie,
Tournant vers votre harmonie
Le rayon pur de mes yeux.

Le pauvre mur, qui vous aime,
Vous caresse d’un décor ;
Vous avez des cheveux d’or
Nuancés, plus beaux qu’eux-mêmes.