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Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 10, 1922.djvu/96

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DUARD.

Je crois bien !

CÉCILE, (à Ginette.)

Je vous laisse Simone…

GINETTE.

Allez, allez…

CÉCILE.

Je reviendrai d’ailleurs aussitôt.

DUARD.

Et je vous enverrai ce mot pour la vieille voisine ce soir même.

GINETTE.

Je vous en prie… Ce n’est pas pressé…

BARRIER.

Au revoir, ma petite infirmière… J’aime ces natures-là… Aussi, si vous avez jamais besoin de moi… À votre disposition !

GINETTE, (riant.)

Oh ! docteur !

BARRIER.

Suis-je bête !… Oui, c’est vrai… Où avais-je la tête ?… l’habitude professionnelle ! Et d’ailleurs un jour ou l’autre, je pense bien que vous ferez votre devoir de bonne Française ! D’ici là, en tout cas, charmé de vous avoir connue !

GINETTE, (riant.)

Alors… au revoir…

(Le docteur sort.)