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Page:Beckford - Vathek, éd. Mallarmé, 1893.djvu/32

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de son faste solitaire. À vous, Lecteur, mais sans les mille fables et l’absurde, se montre, rattachée presque toute ici à l’écrit imaginatif en jeu comme par l’instinct contemporain elle le fut, l’existence de celui qu’on appela jusqu’au dernier jour l’Auteur de « Vathek » .


Exceptionnel, tout, l’homme en sa contrée et quant à lui l’œuvre, éclate tel : mais l’emploi d’abord du Français ! cause qu’on ne voudra de la Préface rien plus ouïr, attentif à savoir par soi-même ainsi que m’incomba tout à l’heure d’extraire une poésie très spéciale, quel goût enfin offre la lecture. Tout beau et je dénie ce droit : car que le Conte existe ici, soit ! or après combien de péripéties traversées, dont il s’agit, pour une louable curiosité, de s’instruire. À un arrêt par vos souhaits précipité, qui sera peut-être la naturalisation du livre, notoirement feraient défaut des