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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/306

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l’effort, qui n’est qu’une feinte, il est au bout de son rouleau. Je connais l’un des médecins que l’on a consultés dans sa famille. S’il va jusqu’à l’automne, ce sera miracle. À soixante et un ans, c’est trop tôt tout de même. Et puis il ne laisse que son œuvre. Il est vrai que l’une de ses filles est mariée, mais l’autre, que deviendra-t-elle ?

Je ne répondis rien, je le savais déjà.