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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/407

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seule et condenser les trois tragédies de la trilogie eschylienne, Théophile Gautier s’en désintéressa, « pour ne pas contrarier M. Samson, me disait-il, Eschyle étant le premier des romantiques ». Et puis Alexandre Dumas était venu qui, en 1856, avait fait la besogne, et enfin Leconte de Lisle, avec ses Érynnies. Mais il ne se consola jamais d’avoir raté ce coche, et quand je le remettais sur ce chapitre :

— Oui, tu as raison, me disait-il, il faudra que je m’y reprenne. Ah ! Eschyle, en voilà un carcassier, et le bon !