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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/413

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faire, moi, d’ici, si vous voulez, votre caravane de maraîchers, sans quitter mon fauteuil ni déranger Éponine…

Et il la lui fit. Il y a des jours dans la vie où le plus utile des arts semble être la sténographie. Je ne me console pas de ne pas l’avoir possédé ce soir-là. Émile Zola m’a dit souvent qu’il avait, lui aussi, gardé de cette visite un souvenir inoubliable, mais pas plus que moi il n’a pu le rendre, celui-là, même d’après nature.