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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/419

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beaucoup moins folle que la vôtre. Il est très beau, votre thème, il résume toute la vie sentimentale de la société où nous vivons, et en somme tout le mariage moderne. Vous n’avez pas l’air de vous en douter. Je vais y réfléchir mûrement, et vous reviendrez me voir. Je choisirai la scène dont je me charge.

Hélas ! ce nouveau rendez-vous n’a jamais eu lieu, mais à la première de La Parisienne, de Becque, je rappelai à Silvestre notre Premier Amant et le succès nous fut mélancolique.