Page:Berrichon - Jean-Arthur Rimbaud, 1912.djvu/6

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


PREMIÈRE PARTIE


Ah ! cette vie de mon enfance, la grande route par tous les temps, sobre surnaturellement, plus désintéressé que le meilleur des mendiants.

… Ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu.

A. R.