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Page:Blanqui - Cours d’économie industrielle 1836-1837.djvu/16

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bre croissant des fabriques et augmentation de la production. — Les colonies, le trésor et les ports de mer élèvent des réclamations. — Impôt spécial demandé aux chambres, ses inconvénients.

Services rendus par l’industrie du sucre de betteraves à l’agriculture et aux autres industries. — Système de l’association appliqué à la culture des betteraves et à la fabrication du sucre. — Avantages des petites exploitations sur les grandes usines.

Examen des réclamations élevées par les colonies, le commerce des ports et le trésor. — L’impôt est mauvais et nuira à tout le monde.

§ 2e Projet de loi présenté aux chambres par M. Duchatel Il est conforme aux préceptes d’une saine économie politique. — Les colonies et les fabricants de sucre indigène réclament encore, ils ne sont ne sont pas fondés à le faire.

Résultats de l’enquête parlementaire faite en 1835-36, et réponses des fabricants.

Conclusion : La question est à la fois industrielle et agricole. — Quelque progrès sont encore à faire dans la fabrication, nos savants sont à l’œuvre, il faut attendre.465 à 488

VINGT-SEPTIÈME ET VINGT-HUITIÈME LEÇONS.
COMMERCE DE MARSEILLE.

Importance et étendue des débouchés. — Progrès de Marseille. — Comparaison de Marseille avec les autres ports de France et avec les principaux ports du globe. — Puissances qui sont en relation avec Marseille.

Relations de Marseille avec le Levant : Ancienneté de ces rapports. — Ce qu’a fait Colbert pour les favoriser. — Ce qu’ils sont devenus depuis cette époque. — Révolution, Empire, Restauration.

Relations avec Constantinople, Smyrne, Thessalonique, Chypre, l’Egypte, la Grèce. — De notre colonie d’Alger.489 à 521