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Page:Borel - Rapsodies, 1868.djvu/127

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Ce n’est pas de cela dont votre cœur s’afflige,
              Cœur où le Corse a mis l’effroi ;
À votre roi chassé rendez hommage lige,
              Pleurez, pleurez sur votre roi.
Vous n’avez rien perdu, point d’ami, point d’amante,
              Peu vous importent nos héros !
              Mais Holyrood se lamente,
              Pleurez, pleurez sur nos bourreaux !