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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/113

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Nos clochers


Ils sont jolis nos clochers blancs,
Les chers clochers de nos villages,
Toujours jeunes malgré les ans
Et sans rides à leurs visages.

Pointés vers le ciel, nuit et jour,
Ils sont une longue prière
Qui dit la foi, l’espoir, l’amour
Du paysan, fils de la terre.