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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/119

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Croix du chemin


D’un geste qui ne finit pas,
De grands Christs solitaires
Etendent, jour et nuit, leurs bras
Sur nos campagnes claires.

Le vent et l’eau les ont noircis,
Et sur les têtes qui s’inclinent
On pense voir des cheveux gris…
Les croix sont peut-être chagrines ?