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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/125

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D’où vient-il eniin ? Quelle est sa demeure ?
Oh ! n’en parlez pas ! car alors il pleure…

Voici le « quêteux », voici le printemps !
Chantez les oiseaux, donnez bonnes gens !

Et dans ses grands yeux, sa seule richesse,
Semble remonter toute sa jeunesse !

Voici le « quêteux », voici, le printemps !
Chantez les oiseaux, donnez bonnes gens !

Comme il est venu, sans bruit, il vous quitte,
Pour l’hiver prochain, se chercher un gîte.

Au revoir « quêteux », au revoir printemps !
Partez les oiseaux, merci, bonnes gens !