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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/142

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coups d’ailes


Les herbages coupés flottent à la surface ;
Entre de lourds billots, le vent les pousse en masse ;
On traîne les billots au bord : ce n’est qu’un jeu.

Quand le froid les saisit, les hommes se redressent,
Et l’on peut voir, au lieu de leurs faux qu’ils abaissent,
De fins croissants d’argent plonger dans le flot bleu.