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Page:Buckland - La Géologie et la Minéralogie dans leurs rapports avec la théologie naturelle, 1838, tome 2.djvu/163

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BB les bandes marginales, C l’axe de la flèche, D conduit excréteur du réservoir d’encre, distendu par l’encre fossile[1]. (D’après nature.)
7. Surface supérieure d’un calmar fossile du lias de LyœeRegis. AA barbes de la penne, BB bandes marginales, C axe de la penne, d lame supérieure d’une bande marginale. La surface en est ridée d’une façon insolite, ce qui peut être causé par le développement incomplet des fibres transversales. Arriyées à leur accroissement complet, elles eussent ressemblé peut-être à celles de la lame sous-jacente, que l’on voit en d″. (D’après nature.)
d′. Figure grossie de la surface rugueuse que l’on voit en d.
d‴. Figure grossie de la seconde lame, qui se voit en d″.
e. Surface supérieure de la seconde lame de la flèche médiane. Les lignes transversales onduleuses sont ici plus apparentes que les lignes droites verticales, mais les unes et les autres sont distinctement visibles.
f. Surface supérieure de la troisième lame ; on y voit les fibres droites verticales beaucoup plus apparentes que les fibres transversales onduleuses.



Planche 29, t. I, p. 269 et p. 271.


1. Calmar fossile du lias de Lyme-Regis, faisant partie de la collection de Mlle Philpot. On y observe à peu près la même structure que dans les figures 6 et 7 de la planche 28, et en dessous de la penne se voit un très grand réservoir d’encre D. Le volume relatif de ce ré-
  1. On voit très nettement, dans cet échantillon, la disposition des bandes marginales.