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Page:Bulletin de la Société d'études des Hautes-Alpes, 50e année , 5e série, 1931.djvu/582

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Nessun Maggior Dolore’ Ce ciel bleu, ces nuages, légers flocons, le parfum de ces fleurs, le timbre d’une voix douce et jeune, la rayonnante beauté des chefs-d’œuvre de l’art, un sourire ‘de bonheur sur un charmant visage de femme et ces yeux enchanteurs....., à quoi bon, à quoi bon tout cela ? Une cuillerée d’un médicament répugnant et inutile, toutes les deux heures, voilà, voilà ce qu’il me faut. Juin 1882,


La Langue Russe**


Aux jours de doute, aux jours où l’incertitude sur les destins de ma patrie pèse comme un fardeau, tu es mon seul soutien, mon seul appui, Ô toi, grande, puissante, loyale et libre langue russe. Comment, sans toi, ne pas tomber dans le désespoir, au spectacle de ce qui se fait chez nous ? Non, il est impossible de croire qu’une langue pareille ne soit pas l’apanage d’un grand peuple !


Juin 1882,