Aller au contenu

Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 1.djvu/47

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rand et Alibert, pour l’intérêt qu’ils ont mis à cette publication. Il est seulement à craindre que leur ardeur pour les progrès de la médecine philosophique, et les préventions favorables que cette ardeur même peut leur inspirer, n’aient égaré leur jugement. Car, d’ailleurs, qui jamais eut plus le droit d’être difficile ? Ne sont-ils point, en effet, des premiers parmi ces élèves déjà célèbres, dont s’honore l’École de Médecine de Paris, et dont les succès attestent la perfection des méthodes d’enseignement employées par ses illustres professeurs, et l’excellent esprit qui dirige l’administration de ce bel établissement ?