— Génies extraordinaires qui se sont plus particulièrement fait remarquer en Grèce, 14. — Ce qu’ils ont fait, 15.
Grecs (les anciens). Pourquoi chez eux les tempéramens étoient plus marqués, plus distincts qu’ils ne le sont chez les peuples modernes, I, 485. — Ce qui a fait des Grecs un peuple si supérieur, II, 272.
Grossesse. Dispositions particulières de la femme dans cet état, I, 378.
Gymnastique. Grands effets que lui attribuoient les anciens, II, 13.
Habitudes. Comment leur action lente et graduelle peut produire le tempérament, I, 483. — Les corps organisés, par les modifications qu’ils subissent, peuvent contracter des habitudes, II, 7. — Ce qu’elles attestent, 8. — L’expression générale régime, embrasse l’ensemble des habitudes physiques ; ce qu’elles peuvent opérer, 12. — L’organisation de l’homme se modifie singulièrement par l’habitude, 53. — Ce qui doit s’ensuivre, 54. — Ce qu’on doit entendre par habitudes morales, 173. — Sur leur empire, 179. — Travaux déterminés par les habitudes, 254. — Celles des nations, comme celles des individus, dépendent le plus souvent de la nature de leurs travaux, 257. — Preuves à cet égard, 258. — Question : Si les habitudes et les travaux qui dépendent, à différens degrés, les uns des autres, sont eux-mêmes soumis à l’influence du climat, 259. — Faits généraux et particuliers qui le prouvent, 260, 261. — Habitudes particulières aux pays chauds et froids, 263. — Effets des travaux sur les habitudes, 265. — Vraie doctrine d’Hippocrate sur les habitudes morales des peuples, 279. — Preuve tirée de son Traité des Airs, des Eaux, et des Lieux, 281. — Habitudes particulières pour le sommeil, 467. — L’introduction de nouvelles habitudes dans les organes, par les maladies, est plus ou moins facile, 532.
Haras. Sur leurs productions, I, 489.
Hémorragie de jus de viande, au lieu de sang ; observation de Lower, I, 255. — Hémorragies nasales particulières aux enfans, 274.
Histoire. Examen de ses premiers temps, c’est-à-dire, de celui de l’établissement des peuples libres dans la Grèce, I, 10 et 11. — Ce qui occupoit les hommes d’alors, 14.
